Elections régionales – L’UPR sera de la partie !
David Wentzel sera tête de liste pour la Région Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne. Il était à Épinal avec Davia Hancock, candidate de la Haute-Marne, pour une première esquisse de ce qu’ils défendent. L’Union populaire républicaine présente 189 candidats pour la région.
“L’UPR est un jeune parti mais il a aujourd’hui 8800 adhérents en France, présente 1969 candidats sur la France et 189 sur la Région“, présente David Wentzel. Ce nouveau parti prône la sortie de l’Europe, de l’euro et de l’Otan. “L’Europe était une belle idée, mais ce qu’elle est devenue est une belle imposture ! argumente Davia Hancock. Si les gens se désintéresse autant de la politique, c’est parce qu’ils se rendent bien compte que l’État n’a plus les moyens de gérer ses affaires, que l’Europe impose ses diktats“.
Les “diktats” de l’Europe
“Nous n’avons pas l’écoute des médias parce que nous avons l’honnêteté de nous positionner contre l’Europe telle qu’elle est. On force les États à avoir les mêmes lois alors que les pays n’ont pas les mêmes besoins, insiste David Wentzel. L’Europe nous force à être en concurrence avec tous les pays”.“L’Europe nous a déshabillés et elle va bientôt déshabiller nos enfants, enchaîne Davia Hancock. Elle est en train de ruiner tous les acquis qui faisait la force de la France”.
Décider de l’avenir pour ses enfants
“On est en train de regrouper les régions pour faire une Grande région, mais on sait bien qu’il va falloir traiter plus de dossiers avec les mêmes moyens, poursuit Davia Hancock. On n’est pas là pour faire carrière, ce qui me pousse à être présente sur la scène politique, c’est l’avenir que je prépare pour mes enfants ! J’en ai assez que les populations ne soient au courant de rien, ne décident de rien”.
Des référendums
Ils promettent un audit complet des comptes par un organisme indépendant, une information de ce que l’Europe impose, de ce que l’on peut changer, de ce qui est contraint. Les candidats veulent mettre en place des référendums pour que les gens s’expriment. “Peut-être est-ce une dépense en plus mais c’est une dépense utile.”
Le nombre d’élus divisés par 2
“C’est une révolution que nous entamons avec les citoyens”, disent-ils. Une révolution pacifique, mais qui voudrait progressivement faire prendre conscience que les citoyens ont le droit de décider de ce qu’ils veulent. Ils diviseront par 2, le nombre des élus pour réinvestir cet argent dans les TPE-PME et artisans, ils dénonceront la corruption, exigeront le non cumul des mandats et son renouvellement seulement une fois. Enfin, ils créeront une commission citoyenne de surveillance des élus. Et pour eux, pas de doute c’est juste du bon sens ! Ils pensent avoir une vraie présence sur le secteur de Saint-Dié et en Meurthe-et-Moselle.
