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Le prix des collégiens va à Carole Trebor pour Nina Volkovitch

La salle du Magic Mirrors débordait pour cette rencontre entre les collégiens et l’auteure qu’ils ont élue. Des collégiens curieux qui n’hésitent pas à poser leurs questions. Ils lui ont remis le book des Imaginales.

 

Carole Trebor, est émue de se trouver face à cette foule de jeunes qui l’a plébiscitée. C’est beaucoup plus éprouvant que de se confronter à sa page blanche : «  On écrit pour vous lecteurs, et c’est très touchant de vous rencontrer, assure-t-elle. C’est essentiel pour nous d’avoir ce retour là, de savoir ce que vous avez aimé. J’espère que vous allez dévorer les tomes suivants, aimer Nina et découvrir la Russie »

L’héroïne, Nina, est une petite gamine, qui a des problèmes de taille.  « Ce  n’est pas si simple de grandirde  changer de corps, poursuit l’auteure, peut être que Nina me ressemble un peu. On peut aussi bloquer sa croissance pour ne plus souffrir et ça me touchait ».

Pas la super héroïne

Nina est attachante, parce que ce n’est pas la super héroïne. « C’est juste une adolescente atypique qui on peut s’identifier », remarque une participante.

Carole Trébor raconte qu’elle a eu l’idée de ce sujet, parce qu’elle travaillait  aux archives à Moscou, en tant qu’historienne. Elle a trouvé trace d’un musée qui avait été fermé. C’était l’idée de base du roman.  Puis elle a rencontré la maman de Nina, qui refusait de baisser les bras, et d’accepter la fermeture. La petite Nina est née un peu plus tard de son imagination.  Il lui fallait une amie, forte et sportive et c’est Véra !  Véra porte aussi la question de la croyance et va évoluer au cours du roman.

Tout,  tout sur l’écriture !

« Nina, c’est le 1er souffle d’un roman. Je l’ai écrit d’un coup, puis je l’ai agrémenté de fiction, de magie, d’icones », détaille Carole Trebor. Le tome 2 est sorti en janvier et le tome 3 en mai 2013

Un jeu de questions-réponses pour découvrir le parcours, l’inspiration, les techniques d’écriture et la motivation de Carole Trébor, leur héroïne, parce que l’écriture, ça fait rêver…

Et une 5e édition qui conforte les organisateurs et la Ville d’Épinal sur l’intérêt de cette manifestation.

C’est génial que ça existe !

Plus de 20 établissements ont voté. Les jeunes ont aimé le livre ou non. Nicolas n’a pas hésité à dire qu’il n’avait pas aimé mais que ça lui avait fait un peu de lecture le soir ! « C’est génial que ça existe », s’enthousiasme Julie qui participe aux Imaginales pour la 1ère fois. Et cet engouement fait chaud au cœur. « Vous me donnez envie de continuer ! », conclut Martine Mapps, coordinatrice du Prix Imaginales des collégiens, saluant la maturité des choix établis.

 

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