Il n’y avait pas foule ce vendredi soir, mais les visiteurs qui passaient le seuil, étaient curieux d’explorer des œuvres d’une telle diversité.
Attractifs à l’entrée, les trésors de Marie-France Luraschi-Michel scintillent dans la lumière tamisée. Réalistes ou fantaisistes, abstraits ou jouant des matières, les œuvres s ‘alignent en deux perspectives latérales. Au fond, les coquelicots de Sébastien Voignier étalent leurs couleurs sur un ciel orageux. Se détachant du mur blanc, les musiciens noirs de Dominique Chilte imposent leur présence en contraste avec l’explosion de nuances orangées de Julien King-Georges. En face, les fibres de Michel Brouard, par leur profusion de détails, vous plongeant dans une contemplation analytique.
Deux petits îlots de sculptures ou objets d’art mis en scène conte des histoires d’imaginaire.
« Merci aux artistes et à l’Association Pigment T, au nom de la Ville pour cet événement, félicite Jacques Grasser, adjoint à la culture, c’est réjouissant chaque samedi de voir des créateurs très divers exposer leur travail aux yeux du public. Longue vie à cette manifestation ! ».Il est accompagné d’Adel Ben Omrane, délégué à la politique de la Ville. « C’est la première année que nous refusons des inscriptions d’artistes en août, confirme le président Julien King-Georges,. Une preuve de l’inscription de cette manifestation dans le paysage artistique du Grand Est.
