Le collectif (ADELE-S, BPR, TG2V, CGT) s’est réuni vendredi en gare de Saint-Dié. Ils sont contre le projet de fermeture et demandent des informations claires.
Les lycéens doivent pouvoir prévoir leur formation et savoir comment ils pourront s’y rendre. Que vont devenir les formations des lycées desservies par la ligne s’ils la ferment ? Trouveront-elles encore assez de candidats ?
Un courrier aux 2 agglos
Comment se positionnent les élus ? Ils affirment que le train est un outil d’aménagement mais jusqu’où sont-ils prêts à aller pour défendre cette ligne et les trains du quotidien ? 2 courriers seron prochainement envoyés au 2 agglomérations d’Épinal et Saint-Dié pour demander aux conseils de communautés de se positionner officiellement.
Une ligne indispensable à la mobilité
Le jeudi 8 mars, le collectif distribuera des tracts sur le marché de Gérardmer pour informer la population et le vendredi 9 mars, le collectif sera reçu en préfecture pour faire remonter leur désaccord sur la fermeture de la ligne et ses conséquences.
Un territoire sans train est un territoire qui s’étiole
C’est la fin de l’égalité d’accès à l’enseignement, aux commerces et aux soins, la mise sur la route des véhicules des ex usagers de la ligne, des émissions de CO2 augmentées et un territoire enclavé qui va perdre sa dynamique. La pétition pour défendre la ligne a déjà collecté 3500 signatures.
