Jannah Theme License is not validated, Go to the theme options page to validate the license, You need a single license for each domain name.

Hausse de salaire, la CGT frappe à la porte des patrons

Parce que les salariés n’arrivent plus à vivre de leur salaire, la CGT a lancé depuis quelques semaines, une grande campagne de pétition « Augmentez les salaires, les minimas sociaux, les pensions ». Ils marquaient aujourd’hui le coup en allant frapper à la porte des patrons.
 
La France se paupérise, les Vosges encore plus. Le département a perdu des milliers d’emplois projettant des milliers de salariés dans le chômage. Les jeunes ne trouvent pas d’emploi. Le système est grippé et les Français n’arrivent plus à vivre. La rupture entre ceux qui ont largement et ceux qui n’arrivent pas à boucler leurs fins de mois, s’accroit.

Les familles n’y arrivent plus

Les Vosges sont un département pauvre ! Les familles s’usent à essayer d’économiser 4 bouts de chandelle, à faire pousser 2 légumes après le travail pour avoir de quoi manger. Ils ne partent plus en vacances, multiplient les trocs et ne veulent plus entendre les patrons leur suggérer de se serrer la ceinture ! ILm n’est plus question de superflu, mais d’essentiel !

Tendre le chapeau aux patrons

Afin de relayer les cartes pétitions et pétitions salaires collectives, la CGT a décidé d’une journée de mobilisation et de grève ce jeudi, pour aller faire le tour des patrons et leur tendre le chapeau ? Non la pétition ! C’est une alerte. Les Salariés en ont marre, faites quelque chose et arrêtez de les ponctionner, de les insécuriser !

“Ils ont raison, plus rien ne fonctionne”

Ils ont déposé une pétition au Medef Vosges reçus par Laurence Rayeur et Michel borens. Puis ils ont sillonné les rues en opération escargot. “Ils ont raison ! commente un passant. Plus rien ne fonctionne !”. A la gare, c’était le rendez-vous des grévistes ! Ils sont allés remettre une pétition à Michaël Zenèvre, président de la CGPME, puis ils ont fini par la préfecture en début d’après-midi.

Faites ce qu’il faut !

Mais les manifestants ne veulent plus qu’on leur oppose la crise, des budgets déficitaires ou des marchés en berne. Messieurs les patrons, changez d’approche, de façon de penser, innovez, mais faites quelque chose pour que ça change  et vite !

 

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page